Compte-rendu de la deuxième plénière

Partager cet article

Partager cet article

Une trentaine de présent.e.s malgré le froid de la salle Timbaud ; et beaucoup d’excusé.e.s le 18 décembre à l’occasion de la deuxième plénière publique !

Charles ouvre la séance en remerciant les participant.e.s à cette dernière plénière de l’année 2018. Il souhaite la bienvenue aux personnes qui rejoignent Poitiers Collectif et rappelle qu’avant chaque plénière un accueil des nouveaux est proposé de 19 à 20 heures.

Depuis le 10 novembre dernier, les groupes thématiques se sont formés et réunis – à une ou deux exceptions près – il y a eu une interview de Poitiers Collectif sur Radio Pulsar, des contacts pris auprès de personnes ressources pour des interventions ou témoignages et l’élaboration d’un agenda pour les deux premiers mois de l’année prochaine.

Pierre fait un rapide compte-rendu du groupe coordination, en insistant sur plusieurs points qu’il souhaite partager en plénière dont :

  • rappel de l’ouverture du groupe coordination à de nouveaux participants ;
  • contacts pris, notamment, auprès de Matthieu NIANGO (auteur de La démocratie sans maîtres et membre fondateur de A nous la démocratie !), d’Olivier BOUBA-OLGA (Université de Poitiers, coauteur de La mythologie CAME), et de Cogitations citoyennes à Tours – Cf l’agenda Poitiers Collectif de janvier/février 2019 ;
  • vigilance à apporter à la circulation de la parole et à l’écoute de qui s’exprime en plénière ;
  • questionnement (sinon inquiétude) sur l’avancée des groupes thématiques, puis leur éventuelle « harmonisation » pour une communication élargie ;
  • indispensable ouverture de Poitiers Collectif à de nouvelles personnes : un groupe Mobilisation a été créé – les moyens et les formes d’action de Poitiers Collectif sont à questionner.

Après la présentation rapide de chacun.e, suivent des échanges :

→ Julie propose de petits évènements qui permettraient de mieux se connaître en plénière et de souder le grand groupe où de nouvelles personnes sont accueillies chaque fois : temps informels et festifs, brise-glace, …

→ Chacun.e indique le ou les groupes auxquels il-elle participe;

→ Chaque groupe est autonome pour fixer le cadre de sa réflexion et des apports sur la thématique qu’il traite : pas de lissage des différentes productions pour la mise en ligne, même si elles sont rédigées de manière très différente.

Dans le cadre de notre rubrique « Les projets qui nous inspirent pour Poitiers », Léonore accueille ensuite Claude THIBAULT, venue présenter le Centre de Santé des Trois Cités et sa genèse. Ce peut être un projet inspirant pour une politique locale de prévention et de santé.

Un centre de santé est une structure médicale de proximité qui regroupe des professionnels de santé salariés et qui pratique le tiers payant. Il est géré par une association à but non lucratif et joue un rôle de service public en matière de santé : soins de premier recours sans hébergement, actions de prévention et d’éducation à la santé. 

Puis viennent les lectures des textes préparés par les groupes thématiques : eau ; biodiversité ville nature ; mobilités ; transition énergétique ; agrimentation ; économie sociale et solidaire vs économie ; vie démocratique et participation citoyenne ; inclusion territoriale, sécurité, logement (avec un nouvel intitulé…) ; solidarité, égalité, âges de la vie (avec aussi un nouvel intitulé).

Ces textes fixant le cadre de chacune des thématiques doivent être publiés début janvier sur le site pour lancer l’appel à contributions. Maryse demande qu’ils soient adressés le plus rapidement possible à l’adresse <groupes@poitierscollectif.fr>

Viennent ensuite quelques questions/remarques/avis portant sur :

→ la mobilisation de nouvelles personnes

→ des interventions dans les différents quartiers de Poitiers

→ une visibilité et une communication plus importantes

→ un slogan

→ un éventuel entrisme de personnes dans Poitiers Collectif – la nécessité de revoir la Charte ?

Nous terminons par une répartition des tâches sur l’organisation des événements à venir.